Symbole du poisson
.
.
Le poisson est le symbole de l’élément eau, dans lequel il vit. On le sculptait à la base des monuments khmers pour indiquer qu’il plongeait dans les eaux inférieures, dans le monde souterrain. A ce titre il pourrait être considéré de la confusion de son élément et partant comme impur. C’est ce qu’en dit Saint-Martin, qui remarque la non différentiation entre de la tête et du corps. Pourtant si le Lévitique ne l’admet pas au sacrifice, il l’admet à la consommation, de tous les autres animaux aquatiques.
Il existe, dans certaines sociétés discrètes, un signe qui a aussi pour symbole la différentiation entre la tête et le corps.
D’autres part « La fraternité blanche » qui pratique le régime végétarien s’autorise la consommation du poisson car elle pense faire « évoluer » cet animal en l’absorbant. Mais, selon Papus, le régime végétarien est par définition absurde car tous produits crus ou cuits de nature végétale contiennent des êtres vivants, microbes et autres.
Le Livre des symboles de Jean Chevalier dit sur le symbole du poisson, ceci : Symbole des eaux, monture de Varuna, le poisson est associé à la naissance ou à la restauration cyclique. Il est à la fois sauveur et instrument de Révélation (…) Or si le Christ est souvent représenté comme pêcheur, les Chrétiens étant des poissons, car l’eau du baptême étant leur élément naturel. (…) Au Cachemire, Matsyendranâth (…) dit avoir obtenu la révélation du Yoga après s’être transformé en poisson.
Les poissons sacrés d’Egypte antique, le Dagon phénicien (voir la nouvelle de H.P. Lovecraft), l’Oannès mésopotamien, attestent des symboliques identiques, le dernier surtout, expressément considéré comme le Révélateur. Oannès, a même été considéré comme une figure du Christ. Le thème du dauphin sauveur est familier à la Grèce : les dauphins ont sauvé Antion du naufrage. Le dauphin est associé au culte d’Apollon et donna son nom à Delphes. Etc.
Il existe, dans certaines sociétés discrètes, un signe qui a aussi pour symbole la différentiation entre la tête et le corps.
D’autres part « La fraternité blanche » qui pratique le régime végétarien s’autorise la consommation du poisson car elle pense faire « évoluer » cet animal en l’absorbant. Mais, selon Papus, le régime végétarien est par définition absurde car tous produits crus ou cuits de nature végétale contiennent des êtres vivants, microbes et autres.
Le Livre des symboles de Jean Chevalier dit sur le symbole du poisson, ceci : Symbole des eaux, monture de Varuna, le poisson est associé à la naissance ou à la restauration cyclique. Il est à la fois sauveur et instrument de Révélation (…) Or si le Christ est souvent représenté comme pêcheur, les Chrétiens étant des poissons, car l’eau du baptême étant leur élément naturel. (…) Au Cachemire, Matsyendranâth (…) dit avoir obtenu la révélation du Yoga après s’être transformé en poisson.
Les poissons sacrés d’Egypte antique, le Dagon phénicien (voir la nouvelle de H.P. Lovecraft), l’Oannès mésopotamien, attestent des symboliques identiques, le dernier surtout, expressément considéré comme le Révélateur. Oannès, a même été considéré comme une figure du Christ. Le thème du dauphin sauveur est familier à la Grèce : les dauphins ont sauvé Antion du naufrage. Le dauphin est associé au culte d’Apollon et donna son nom à Delphes. Etc.